Thursday 24 May 2007

Prénom : Gilbert. Profession : …écrivain !


Scuse le retard pour la mise à jour de mon blog mais à force de devoir bouger mon Grand Stade, je n’ai plus beaucoup de temps à vaquer sur mon ordio. Bordel, j’ai bientôt fait le tour de la vallée du Rhône pour l’entreposer mon chef d’œuvre. Apres les marécages en-bas à Collombey, les champs de patates en-ça à Martigny, j’ai dû me rabattre sur les terrains gelés des capucins en-haut à Ecône. Bon, je t’en parlerai plus dans un prochain billet (ou «post», je connais pas trop ces termes informatiiiiiques) car là, je viens de passer 20 minutes à discutailler avec ces 'professeurs' en foot du Nouvelliste et ça commence franchement à me faire cheleux.

Je préfère te causer de nos résultats car ces jours-ci, les points tombent aussi vite que Cristiano Ronaldo dans les surfaces de réparation. Je sais pas si c’est la chaleur, mais mes fillettes se sont transformées en remettant en place ces bouseux de St-Gallois et de Bernois. Sur leur pelouse en plastique de Berne, ils peuvent faire les mariolles mais ici à Tourbillon, c’est nous les chefs !

Y’a que Saborio pour nous enquiquiner car il a pas trop aimé se faire remplacer alors j’te dis pas, il a quitté le stade aussi vite que Chassot vide ses verres de blanc au Boulevard. Pauvre Alvaro, il va se ramasser une bouélée en calabrais de Toto Catenatch’ et il sera privé de banjo dans l’avion qui nous emmènera visiter l’Europe. Car après notre démonstration à St-Gall, ça fait plus de doute, l’UEFA nous tend les bras. Il suffira de payer une raclette et une golée de Fendant aux Sforza’s boys et ils vont bien gentiment nous laisser les points pour qu’on fasse péter un peu les bouchons par ici à travers.

L’en est un qui va pas fêter fort, c’est mon «ami» Schällibaum. Car en paumant contre le Aarau de Gress, sa carrière d’entraîneur a maintenant autant de sens que les critiques de films de Freddy Buache. Moi je te dis, qu’il laisse les Schaffhousois s’occuper de leur dépotoir du Breite et qu’il devienne entraîneur d’hornuss ou consultant en lancer de Spätzli à la Fête Fédérale de Lutte. Et pis, si Schaffhouse recherche une tribune flambant neuve, qu’ils demandent à Salvi de leur fourguer celle de Baulmes… elle deviendra caduque dans une semaine. Pour son transport et financement, Salvi devrait demander conseil à ce bandit de Marc Roger qui est toujours prêt à nous inventer les dernières acrobaties financières pour pas un kopeck.

Sacré Gilbert, s’il tire d’affaire le FC Aarau, je pars acheter son bouquin intitulé «Je n’avais encore rien dit». Bizarre, car à force de l’entendre brailler depuis la touche, on pensait tout le contraire….. J’en reviens pas que ce gueulard ait réussi à pondre un bouquin pour expliquer ses choix de par-dessus Vögele et de lunettes Migros Budget. Bon, t’imagines bien que je vais pas perdre mon temps à lire ses babioles ! Je vais refiler son livre à Chassot pour qu’il puisse enfin passer ses tests de français de 3ème primaire.

A propos de journalisme, finissons ce blog en parlant de «Café des Sports» de Nicolas Burgy. Je vais t’étonner ici mais avec sa coupe de cheveux et ses questions de soixante-huitard sur le retour, moi je l’aime bien ce petit. Oumais diable, l’autre soir, j’ai dû endurer les commentaires à deux balles de Laurent Ducret sur Federer. Non mais cuisi, il a le même sens de l’humour que Ruth Dreyfus alors qu’il se contente de commenter les premiers tours des tournois Satellite de George Bastl et qu’il arrête de nous les briser sur la TSR.

Non, j’vais lui dire à Burgy, si tu veux parler tennis, invite plutôt les sœurs Maleeva. Avec ces gonzesses sur le plateau, c’est de l’audimat assuré !

3 comments:

Anonymous said...

Vraiment exceptionnel ton blog. J'espère que ce n'est pas la fin de saison qui va stopper ton envie de communiquer en toute franchise. Merci pour humour au vitriol.

Anonymous said...

Moi je l'aime bien le Gress....mais c'est vrai que tu le dépeins d'une manière fort drole !!
tu veux vraiment pas nous donner un résumé de son livre ????

Anonymous said...

Jolie la cassée à Ducret, il la mérite.